une serie d'images sépia, passées par le temps, mais qui rappelle le charme désuet du XIX ième siècle, temps des "maisons close".

une fille offerte aux regards, présentant ses atouts, ses formes, ses seins et son intimité. aguicheuse d'espoir, voluptés défendues, elle nous amène à nos plus sombres instincts. 

les cuisses ouvertes aux mains qui s'y promeneront. maitresse de rêve, théatre de joie espérées. 

les poses inavouables que seules ce genre de lieu peut offrir, car toutes femmes du monde, ne peut se commettre à de pareilles positions, sans affadir son rang.

une libertée d'expression, sans gênes, sans hontes, que tant d'homme rêvent d'avoir.

cette serie de photo fut faite en la présence de SEB, déjà photographié, que j'avais invité pour l'occasion et sous la totale excitation de val, qui se montra à mon objectif et à son regard plein de désir.

(la suite de cette serie, plus hard, est sur le petit frère de bistory... l'extreme..., pour en savoir plus, aller voir dans "pourquoi ce blog?"))

alain était déjà venu pour se faire photographier. cette fois il demanda à isabelle sa compagne de venir avec lui pour une séance en couple. c'était la première fois qu'isa faisait une coquinerie pareille. après avoir photographié à nouveau alain devant elle, je lui demandais si elle voulait le rejoindre pour des photos, ce qu'elle accepta avec crainte et envie tout à la fois. vers la fin de la séance, alors qu'il était en train de la prendre, alain demanda a isa si en même temps elle aimerait avoir ma queue en bouche. profondement excitée, elle ne se fit pas priée, je sortis ma queue et elle me la suça pour mon plus grand plaisir.

voilà une queue... enfin, qui n'est pas rasée. assez de ce dogme contemporain d'un sexe lisse. avec ganz, d'entrée de jeu, il fut en érection, très excité de s'offrir nu devant mes yeux et mon appareil. il n'hésite pas un instant à l'envie d'ouvrir ses cuisses. connaissant mon gout pour les couilles pendantes, il m'invite à lui faire une photo. un corps naturel avec la chaleur du poil, tant à la vision qu'au touché. oui je ne me suis pas privé de toucher sa toison et son membre. ce qui me permis de lui donner ce petit coté luisant à la fin...